Tout l'été 2011,
la route du paradis, était...
Son état étaitlamantable,
des crevasses,
de grandes portions arrachées,
dans la côte, l'espace carrossable avait rétrécie
comme peau de chagrin,
il fallait louvoyer, pour rester en selle.
et tout en bas,
l'eau régnait en maitresse des lieux,
et, plus le temps passait,
plus,le chemin était magané.
mais, fin août,
des signes avants coureur apparaissent,
la fin de l'attente approche.
Début septembre, les branches volent
de toutes parts,
la machinerie est sur place,
les travaux de réfections sont commencés,
même les mouches assistent au début des travaux,
le défrichage de la nouvelle route est bien commencé,
avant longtemps, les autres machines seront à pied d'oeuvre.
Mais, cela est pour le prochain billet...
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