30 mai 2021

Cueillette matinale.

Imagines toi donc,
je viens de découvrir 
une plage inconnue de tous,
les cailloux y sont de toute beauté,
il y  même des agates, du jaspe
et autre pierres semi précieuses.
je fais le plein, 
je cueille toutes celle 
qui se laissent photographier.
Cela me fait 
une belle collection.
Il me fait grand plaisir 
de te la
présenter.












 
Oups, 
une personne
est déjà 
passée ici,
elle y a même
laissé sa trace.

 

26 mai 2021

Moment de détente.


c'est l'après midi 
l'été est bien installé,
le soleil brille
de tous ses feux,
c'est vraiment.
le bonheur
que de pouvoir
se tremper
les orteilles
dans la vague.
Essaie, tu verras.


 

23 mai 2021

Clin d'oeil à Zoreilles (2)


Lorsque je suis arrivé dans la blogosphère,

J'ai eu le grand plaisir d'y rencontrer une auteure de talent,

Dame Zoreilles, je lui avais alors fais un clin d'oeil 

pour lui dire à quel point j'appréciais ses écrits.

ce fut alors mon premier clin d'oeil à Zoreilles.

Aujourd'hui, je lui fais un deuxième et dernier clin d'oeil,

pour souligner le bonheur que j'ai eu à la connaitre 

à travers ses écrits, tous plus beaux et inspirants 

les uns que les autres.

Ses billets toujours chaleureux, sincères et gratifiants,

ses commentaires, sur chacun des blogues

où elle commentais, étaient justes et amicaux,

teintés de douceur et bonté.

Depuis un peu plus d'un an

Zoreilles était muette.

Récemment, Francine Turbide, l'auteure de Zoreilles,

c'est comme disent les Madelineaux, dégolfée,

elle est partie pour le Grand voyage.

Je viens ici, laissé quelques images de bord de mer

ainsi qu'un phare,deux sujets qui lui étaient agréable.



Juste pour toi Zoreilles, Francine, je laisse ici 

ces photos pour te dire,que toujours, tu vivras dans nos coeurs.

 REPOSE EN PAIX mon amie.

 



























 
 



 

07 mai 2021

À chacun sa bosse, cèdre ou bouleau....

Quelque soit ton essence,
parfois,
il faut
que tu 
cèdes
la place
au
boulot. 
La loupe 
de l'un,
le polypore
de l'autre,
ce qui est une blessures
de la vie,
 pour le thuya,
est le charognard
venu digérer
le bois mort
du bouleau.
 Ainsi va la vie.