2025 arrive...

 

Joyeux Noel.

 

Il était midi...

Il était midi,

J'attendais mon diner,

quand ces oiseaux

vinrent se rassasier

à cet endroit

précis

sur le stationnement

de la cantine

du pêcheur

juste à l'entré

du quai

de Cloridorme.

Ils arrivaient

en groupe

et semblaient

avoir trouvé

le repas

de leurs 

rêves.
Certains quittaient,

alors que

d'autre arrivaient.

Ce manège 

a

duré 

tout le temps 

que je suis

resté là.

À mon départ,

j'ai dut

faire 

attention

pour ne pas 

leur rouler dessus

avec ma 

voiture.
C'était 

vraiment beau

à voir.

 

De loin, veille la lune.

De là haut,

la lune surveille.

Rien ne lui 

échappe,

elle a l'oeil.

Elle parfois

si loin,

vient

très près

certains soir.

 

Visite furtive au village de Kamouraska.

 En visite

à Kamouraska,

l'église, dans toute sa majesté,

s'impose à notre regard,

ses deux clochers,

pointent fièrement

vers le firmament,

ils sont bel et bien deux,

même si parfois,

elle semble n'en avoir qu'un.

Un peu plus loin, c'est le Christ Roi

que veille sur le village

afin d'éviter

que ne reviennent 

les anglais pour tout y détruire

comme ils le firent jadis.

À l'époque,

de grands arbres

peuplaient en toute liberté,

ce village naissant.

mais, le progrès,

au fil des ans,

s'invita,

s'insinua,

à un point tel, 

qu'il fut nécessaire 

de lui faire de la place.

Pour ne pas 

briser le fil,

le bouleau 

devenu embarrassant

fut coupé,

laissant un bout de branche

se balançant seul entre ciel et terre. 

De la fenêtre,

de grands champs

semblent s'étendre

jusqu'à l’horizon

tandis que plus près,

fleurissent de jolis arbustes.

Par un beau dimanche, le long de la rivière Dartmouth.

La

chute,

une des 

belles

fosses à saumon

de la 

rivière.

Ceux qui 

connaissent

cette fosse,

savent

qu'elle 

est identifiée

en 

bilingue, 

car vois tu,
Gaspé
a longtemps
été
plus anglophone
que francophone
alors,
cette fosse
est
"les falls",
rien de moins.
pourtant, à bien y regardé,
nous n'y voyons
qu'une chute
et quelques
cascades.

Il faut dire,
que le saumon
n'y voit
aucune
différence.

 

Araignées sur toile.

Elle se dorait

au soleil,

bien tranquille

sur sa toile,

lorsque 

soudain,

un visiteur

arriva.

Ce dernier

semblait

bien curieux.

Il la regardait

sous toutes 

ses coutures,

de tous les côtés.

Il avait

un drôle

d'outils 

entre les mains.

Il tirait

à gauche,

à droite,

devant, derrière,

il insistait 

tellement qu'à la fin ,

l’hôte finit

par chercher

un abri

sous la cloche. 

Sa cousine

la citadine

faisait elle,

de la haute voltige

sur une toile

qui semblait

voler

librement.

En y regardant

de plus près,

le visiteur

présenté plus tôt,

constata 

que la toile

n'était visible

uniquement

lorsque

le soleil

la caressait

de ses

chauds rayons. 

Alors,

le visiteur

votre hôte

recommença

son manège,

il tira

de tous 

les côtés

puis, 

s'empressa

de

venir

vous

présenter

ses prises.

Elles

sont

belles

n'est ce pas...

 

Le Grand Éclairagistre s'amuse.

Certains jour,

le grand éclairagiste 

nous

présente

un espace restreint

du paysage,

un point précis

du village,

comme ci,

il voulait

nous 

faire comprendre

quelque chose.

En d'autre temps, 

il nous 

invite

au voyage,

nous propose de visiter

le vaste monde,

ouvrant 

l'horizon

jusqu'à

l'infini.

En d'autre moments,

ce sont

les couleurs

de la montagne

qui sont

à l'honneur,

histoire 

de garder en nous,

notre 

coeur d'enfant,

notre capacité

de nous émerveiller

devant 

la beauté naturelle.

Chaque jour

il 

nous offre

un

spectacle

différent

mais,

toujours

délicieux

pour 

ceux et celles

qui 

savourent

le moment présent

ou le présent du moment,

c'est selon.

 

Sobriété d'un jour sur son déclin.

Lorsque se couche  

le jour,

souvent

le soleil

offre

un spectacle

extravagant

Il arrive

parfois,

que 

l'astre du jour

file

un peu plus

discrètement.

Même

ces soir là,

toujours,

son départ

est digne

de notre 

attention,

il n'est jamais

banal.