Sur un air d'été...

Au début

de l'été,

le jardin

sort

ses plus belles fleur.

Au fil 

de la

saison,

elles

 se transformeront

en fruits

succulents

que 

prendront 

plaisir

les

oiseaux

a

venir

s'y 

sustenter.

Flânerie sur les berges du lac Lemay.

Tout 

autour

du

lac,

de

belles

surprises

m'attendaient. 

Comme

j'aime

ce 

genre de surprises,

je

leur

ai

tiré

le

portrait.

Le lit se dérobe.

Après

avoir

réussit

à

traverser

les

cascades,

voici

que

le

lit

du

ruisseau

se

dérobe.

Est ce

 la fin

de la

route,

ou pire,

la

fin

du

monde?

Finalement, le brouillard s'est levé.

Les nuages

étaient lourds,

ils pesaient

sur le paysage

de telle sorte,

que celui ci

semblait

écrasé.

Le brouillard 

à sont

tour

s'est amené,

faisant 

disparaitre

les contours,

et réduisant

le lointain

à une masse 

informe.
Puis, à un moment donné,

tout ça

s'est retiré,

comme si 

leur tâche

était terminé,

la 

lumière

a

pris

toute la place.

La vie

avait tout à coup,

un tout

autre gout,

une saveur

toute nouvelle.

Nous 

pouvions

à nouveau, 

voir

loin,

nous redécouvrions

toutes

nos 

ressources

et

pouvions  

à

nouveau, 

aller

de

l'avant.

Dépassement...

La

place

était

tranquille.

Je regarde

à droite,

rien, 

personne,

sur

ma

gauche,

un seul

véhicule

en vue.

À 

un

moment donné,

un deuxième

arrive

et

sans

crier gare,

il 

dépasse 

et faisant

un brusque

virage

à droite,

coupe

la route

au risque

de

percuter le mur.  

Elle danse, elle danse.

Tout

l'après midi,

elle dansa

sur un rigodon,

relevant

son

jupon,

montrant

son

bottillon. 

La tête

au vent,

et le reste

à l'avenant,

elle 

se fit

allé

sans gènes

et 

sans

fatigue

apparente.

Au loin, 

tout

là bas,

les moutons

couraient

à 

sa 

suite.