Sur la route,
dans la courbe,
juste en haut de la côte,
un petit animal a périt,
aussitôt,
le rapace
est disposé à faire le nettoyage.
À chacun sa destiné,
et la vie continue
au coeur de la forêt.
Un peu plus loin,
un lièvre bien vivant se chauffe sur la route,
tout en y grignotant quelques nourritures
déposées là par le vent.
Il prend la pose, tout en surveillant,
de temps en temps, pour s'assurer
que le danger est loin, bien loin.
Une fois rassasier,
il regagne le boisé tout près,
non sans, avant de disparaître dans les buissons,
faire le beau, pour le plus grand plaisir de la galerie.
Quelques jours plus tard,
grande fût ma surprise,
de le revoir,
faisant l'inspection
de mes installations
sanitaires.
de sa visite, et repartit
sans émettre de commentaire.