Quelque soit ton essence,
parfois,
il faut
que tu
cèdes
la place
au
boulot.
La loupe
de l'un,
le polypore
de l'autre,
ce qui est une blessures
de la vie,
pour le thuya,
est le charognard
venu digérer
le bois mort
du bouleau.
Ainsi va la vie.
Avec grand plaisir, je viendrai à l'occasion te présenter quelques unes de mes photographies.
Un cercle sans fin...
RépondreEffacer@ Gine,
RépondreEffacernaitre, vivre et mourir
et recommencer le lendemain,
ainsi va la vie...
C'est notre renaissance quotidienne à la vie.
RépondreEffacer@ Le factotum,
RépondreEffacerIl y a quelqu'un qui jadis disait, "rien ne se crée, rien ne se perd".
Tout renait, sous une forme ou une autre.