Les glaces,
toutes
absorbées,
par leur
danse
d'adieu,
ne
se doutaient
pas,
que
plus
au large,
les
oiseaux,
à leur manière,
annonçaient la venue
du printemps
tout près.
Une fois, leur spectacle aérien
terminé, plusieurs
prirent le chemin du large.
D'autres, un peu plus fêtards,
dansaient sur la banquise,
et s'amusaient à qui mieux mieux,
sous l'oeil attendrit, de ce spectateur
conscient, de vivre ses dernières heures
et qui avait bien l'intention,
de ne rien manquer, des derniers moments qui lui
étaient allouées.
Il ne connaîtra jamais l'été, à moins que...
Encore une fois, des images riches et des observations empreintes de poésie.
RépondreEffacerJe voudrais ajouter un merci sincère pour le lien que tu m'as transmis pour Les rues d'Ottawa. Quelle belle toune, hein ? Comme quoi les francos ontariens ont aussi leur coup d'oeil sympas sur l'environnement canadian !
@ Crocomickey,
RépondreEffacerC'est une chanson de Cano qui accompagnait la danse des goélands...