Victimes
de
l'insouciance
des dirigeants,
tant
locaux
que
nationaux,
les quais
sont
morts
par
manque
de
soins.
Ils
furent
remplacés
par
ces
insignifiants
tas de roches,
insuffisant
pour faire
correctement
leur
travail,
éviter
l'érosion
et
empêcher
la
fuite
du
sable
de la
plage
voisine.
Il me semble y voir
des bateaux accostés,
et des pêcheurs y trimer
leurs poissons.
Et dire que les canards
s'y baignent, insouciant du drame
qui c'est joué ici,
et pire, de celui qui s'y joue présentement.
Il n'y a que nous pour être plus bêtes que ces canards...
RépondreEffacer...refusant de dénoncer ceux qui méprisent la nature et d'en assurer la pérennité!
Tu es une rare exception et je t'en remercie!
@ Le factotum,
RépondreEffacerL’appât du gain vite fait,est le mot d'ordre des meneurs de ce monde.
Il en a fallut, des insouciants, pour laisser pourrir les infrastructures.
À un moment donné, les pêcheurs se sont regroupés en coopérative, il y avait à cette époque, de petites usines à poissons grandeur humaine, dans nombres de villages Gaspésiens.
Un jour, ils eurent la merveilleuse idée de déménager leur siège social à Québec, pour être plus proche du gouvernementeur et ainsi, espérer quelque subvention.
Qui dit subvention, dit aussi, règlements, contrôle et autre ingérence d'incompétents gouvernementaux.
Ce fût le début de la fin de la pêche en Gaspésie.
Il fallait de grosses usines et des bateaux plus performants pour les fournir.
Le maudits chalutiers sont apparus sur la mer et tout a été détruit.
La pêche au hareng pratiqué par la B.C. Packers a achevé le travail.
La diminution de la pêche aux phoques est venue porté le coup final.
Il n'y a plus de morue en Gaspésie...
En te lisant je pense à mon père qui dit que l'indutrie forestière n'a jamais été si mal.Il a déjà travaillé dans le bois comme bucheron.Il a connu ce que c'est que de travailler avec des cheveaux sans tout détruire derrière. Maintenant,il y a des grosses débusqueuses et bûcheuses qui ont pris la place et saccagé tout sur leur passage. Mon père dit souvent dans notre temps on en coupait pas autant qu'aujourd'hui,mais on avait toujours de l'ouvrage. Les moulins à scie sortent des milliers de pieds de bois sur trois chiffres. L'indistrualisation a souvent du moins bon hélas. Quelle tristesse de voir partir nos richesses naturelles pour paraît t-il du mieux? Vous là bas c'est la pêche et ici dans les Hautes Laurentides c'est l'industrie du bois. Normal que les jeunes s'inquiètent et qu'ils se lèvent que va t-il leur rester dis moi? Merci pour tes billets qui font réfléchir et passe un bonne journée malgré tout.
RépondreEffacerTes photos en noir et blanc (celles du passé) sont plus belles que tes photos en couleur (celles d'aujourd'hui) et c'est donc pas de ta faute...
RépondreEffacerDans ton billet, les commentaires du Factotum, les tiens, ceux d'Étoile, on comprend que c'est partout pareil, qu'on parle de n'importe quelle industrie qui exploite nos richesses naturelles sans tenir compte des populations locales ou de la pérennité de la ressource.
Pis on appelle ça le progrès, le développement...
@ Étoile,
RépondreEffacerLa forêt, pauvre forêt, comme elle s'est fait massacrer.
J'ai aussi, il y a longtemps, connus ce qu'était, récolter la forêt, sans tout saccager,
avec un cheval et une scie mécanique.
Récolter les arbres qui étaient prêt à être coupés, tout en laissant pousser, ceux qui ne demandaient qu'à atteindre leur maturité, pour qu'un jour, ils soient à leur tour, disponible pour combler les besoins du monde.
C'était, avant cette soif effrénée de faire plus, toujours plus, de profits, à n'importe quel prix.
J'ai souvenance de la terre à bois que possédait mon paternel, nous y récoltions le bois, en commençant tout près, et quand, nous arrivions au bout du lot, les repousses étaient matures et prêtes à être ramassé.
Il est arrivé avec la forêt Gaspésienne, le même scénario qu'avec le poisson,
Une coopérative, appelée, Syndicat forestier, qui voyait à la coupe du bois et aussi, à sa transformation, au moulin à scie, les gens travaillaient presque à l'année.
Vint un jour, où les coopérants se sont vendu à une compagnie, qui devait leur offrir mer et monde.
Ce fut le début de la fin, comme pour le pêches, il fallut un moulin plus gros, plus performant, tout automatisé, qui n'engageait presque plus de monde.
Pour nourrir ce monstre, il fallait à tout prix, accélérer la cadence en forêt, c'est alors, que les tabarnaks, oups, tumberjaks ont fait leur apparition.
C'en était fini, de la forêt.
J'ai eu l'occasion, de survoler la région, à quelques reprises, il n'y a plus que désolation et aridité.
Ils appellent cela, le progrès...
Misères.
@ Zoreilles,
RépondreEffacerVois tu Zoreilles, l'agriculture est elle aussi, rendue à la même place.
Ce ne sont plus des moyens de survie, ni même des entreprises vivables, en agriculture, en forêt, dans les pêcheries, dans le mines et partout, il n'y a plus rien d'humain, ce sont partout, des usines à faire la piastre, le plus possible, le plus vite et sans regard en arrière, pour au moins constater les dégâts.
C'est, et je pèse mes mots, écoeurant.
Il va falloir, et ce dans un avenir très prochain, retrouver le sens des valeurs et réapprendre à vivre en harmonie avec la nature qui nous entoure, sinon...
Il va falloir, et ce dans un avenir très prochain, retrouver le sens des valeurs et réapprendre à vivre en harmonie avec la nature qui nous entoure, sinon...
RépondreEffacerEt dire qu'il y en a pour appler tous ces ravages "le progrès".
Heureusement qu'il reste encore des irréductibles comme toi, Barbe blanche.
@ Jackss,
RépondreEffacerSi au moins, les produits récoltés étaient transformés sur place, il serait plus facile de se faire à l'idée, et la surconsommation serait tellement évidente, que les voleurs s'en rendraient compte eux même, et verraient le non sens de leurs gestes.
Mais non, prélevons, et vite, expédions le produit de ces larcins le plus loin possible, à l'autre bout de la planète.