26 juillet 2010

Village des Loyalistes, deuxième partie.

La première rencontre que nous faisons en entrant dans le village ,c'est une araignée, digne des films de Disney. En nous voyant, elle s'empressa de nous indiquer la fontaine où il nous était possible de se désaltéré.
Oups, la source était tari...
En relevant les yeux, nous aperçûmes un champs où poussait divers instruments aratoires.

Il y avait même un banc de scie qui avait sûrement déjà eu meilleure allure.


Une faucheuse sans banc, suivait patiemment la charrue à deux ailes


qui elle lui tournait le dos et continuait paisiblement son bonhomme de chemin.


Non loin, un musée aux amandes attendait élégamment les visiteurs potentiels.


Une grange avec son joueur de cornemuse sur le toit, se riait des passants.


La forge était fermée à double tours, le forgeron était parti faire ses dévotions à l'église du village voisin.
Le fermier avait lui aussi fermé son étable pour les mêmes raisons.

Au loin, apparurent les premières maisons, mais vu l'heure avancé, il nous allait rejoindre les villageois pour la cérémonie dominicale.

La visite aurait pu se poursuivre encore longtemps, mais ce sera pour une autre fois.










6 commentaires:

  1. Bonjour Barbe blanche

    Ces photos d'une autre époque, elles sont des Cantons de l'Est ou de la Gaspésie? La question me vient du fait que tu parles de loyalistes.

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  2. @ Jackss,
    Il y eut beaucoups de loyalistes dans le sud de la Gaspésie, entre autre, à New Richmond, Hope Town et plusieurs autre localités gaspésiennes.

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  3. Et bien, ça je n'en me serais jamais douté.

    Je croyais que tous les loyalistes s'étaient installés le long de la frontière. Ceux que nous avons en Estrie nous ont rendu un grand service. Ils ont bien pris soin de la terre, des arbres.

    Nos petits québécois ont fait le contraire. Ils ont laisser les Américains abattre tous les forêts de bois franc pour faire de l'argent sans se préoccuper des générations à venir ou de la regénération de la ressource.

    Les temps n'ont pas changé. Ici, sur la Côte-Nord, s'il avait fallu se fier au gouvernement du Québec pour protéger les Iles de l'Archipel de Mingan, il y a longtemps qu'il n'y aurait plus ni monolithes ni de végétations dignes d'admiration.

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  4. @Jackss,
    Le sud de la Gaspésie a une frontière commune avec les États Unis, alors , le loyalistes nous sont venuent par là.
    En 1968, quand je suis arrivé à Gaspé, il était presque impossible de se faire servir en Français dans les commerces et restaurants de la place; il faut dire que les choses ont bien changées depuis.
    Pour ce qui est de la conservation de la nature, je te dirai, que de mes souvenirs les plus lointains, les Gaspésiens Francophones ont toujours pris et prennent toujours le plus grand soin de leurs ressources naturelles; lorsque nos ressources sont pillées pour de l'argent vite fait, ce sont la plupart du temps, des compagnies canadiennes anglaises ou états usiniennes qui viennent tout saccager, alors, je t'invite à mieux te renseigner dans le futur, avant de vomir sur les Québecois, qui somme toute ne sont pas tous des insignifiants comme tu le laisses croire, il y a des limite à chier sur le monde.
    Sans rancune aucune.

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  5. C,est fou comme il paraît loin le temps où ces outils étaient considérés à la fine pointe...

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  6. C'était, le temps de mon enfance, elles étaient tellement utiles sur la ferme.Il y a de ça,...années.

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