Pendant que
pour la nuit,
je regagne
ma couchette,
je vous offre
mes plus beaux rayons,
juste pour vous rappeler,
que demain,
très tôt,
je serai de retour
pour
une fois de plus,
réchauffer
vos vieux os
et
éclairer vos plus belles réalisations.
Bonne nuit
Promis, je serai au rendez vous,
toi, y seras tu?
Souvenir de l'été qui revient bientôt.
Wow! Ces ciels de feu! Mes préférées sont celles où l'on voit des cabanes à pêche... mais elles sont toutes magnifiques. Encore une fois, je les ai toutes cliquées une à une pour les contempler de plus près. Je fais souvent ça chez vous ;o)
RépondreEffacerBonsoir Barbe Blanche!
RépondreEffacerCes photos et celles du billet précédent sont magnifiques. Un beau contraste de couleurs. La blancheur des glaces et les variations d'orangé des ciels de feux. La grandeur de la nature qui touche nos cordes sensibles. Tu as bien raison...tu réchauffes nos vieux os et éclaire nos plus belles réalisations. merci de partager ces splendeurs avec nous.
@ Zoreilles,
RépondreEffacerEntre deux bordées de neige,
parfois, juste avant que ne s'allume la pleine lune,
des millions de couleurs,
toutes plus chaudes les une que les autres,
viennent nous inviter au repos et nous offrent un moment de paix.
À ces instants de tranquillité,
les pêcheurs sur glace,
rêvent de pêches miraculeuses.
@ Canneberge,
RépondreEffacerDans l'immensité de la blancheur de l'hiver,
j'aime tellement, la coloration que nous offre,
les lumières de fin de journée.
Dans sa grande bonté,
la nature, à sa façon,
nous offre parfois,
les outils pour traverser
les froideurs hivernales.
Ce matin, le soleil brille de mille feux,
nous redonne un peu de vie
en chassant les ténèbres de la nuit,
éclairant ainsi, nos terrains de jeux.
Quelles couleurs!
RépondreEffacer@ Spécialiste de l'éphémère,
RépondreEffacerDes couleurs tellement éphémères, quelques minutes et puis, c'est l'obscurité.
c'est ce qui fait tout leur charme, elles se laissent désirées.
J'aime bien comme toi regarder le coucher de soleil s'étendre à perte de vue sur mon lac gelé et voir disparaître une à une ces cabanes de pêcheurs dans l'immensité blanchâtre.
RépondreEffacer@ Le Factotum,
RépondreEffacerLe souvenir qui me vient en tête,
à la lecture de ton commentaire,
c'est celui, où lorsque j'avais 17-18 ans,
de la maison chez nous,
je regardais le soleil se glisser derrière l'horizon,
pendant que les pêcheurs regagnaient leur port d'attache,
un à un, à bord de leurs bateaux,
glissant tout doucement sur l'eau,
j'écoutais Parrrr quatre chemins
avec celui qui vient
à un âge plus qu'honorable
de prendre sa retraite,
M. Jacques Laguirant
à la radio qui pour l'occasion,
venait trôner sur la galerie en avant.