Qui dit
Côte Nord,
dit
barrage.
Sur la sainte-Marguerite,
IOC,
ne
s'est
pas
barré.
Sur la rivière aux Rochers,
le ciment est remplacé
par des roches,
le spectacle y est
à couper le souffle.
Avec grand plaisir, je viendrai à l'occasion te présenter quelques unes de mes photographies.
Je préfère de beaucoup les roches au ciment.
RépondreEffacerBeaucoup plus grandiose comme spectacle!
Moi aussi, je préfère de beaucoup quand on laisse aux rivières leur lit naturel, quand on ne cherche pas à s'approprier toute la force et la puissance de l'eau.
RépondreEffacerChaque fois que je peux me trouver près d'un ruisseau qui cascade ou d'une rivière aux eaux vives et tumultueuses ou d'une chute où l'eau prend toujours le chemin le plus court, j'en retire quelque chose d'indéfinissable et de bon pour moi.
Un barrage, c'est une entrave à la liberté. Je peux en endurer quelques-uns mais pas trop. Quand on modifie la géographie des lieux, je deviens en furie... comme l'eau.
Laissez couler le Nord!
Laissons les choses au naturel.Du béton et du ciment il y en a n'est-ce-pas? D'ailleurs quand on commence à "jouer" avec la nature souvent on en paye le gros prix.Je suis fasciné par les photos.Il me semble entendre le bruit des chûtes c'est appaisant.Merci Barbe Blanche de me faire voyager ainsi.Bonne fin de journée!
RépondreEffacer@ Le Factotum,
RépondreEffacerJe constate que comme toi, je préfère les rochers au béton,
ce n'est pas comme un certain touriste, venant de la grande ville de Montréal,
qui lui de son côté,
suggérait de réparer le rocher Percé avec du ciment,
histoire d'enrayer l'effritement de la roche,
en plus, il était sérieux,
Pauvre citadin.
@ Zoreilles,
RépondreEffacerLa nature nous donne de grandes leçons, je l'ai constater sur mon paradis, un tuyau avait été placé dans le ruisseau, pour pouvoir passer à pieds secs,
Une pluie en est venue facilement à bout, l'eau s'étant fait un chemin, pour se rendre à destination.
Je n'ai jamais refait ce pont depuis.
L'eau qui fredonne,
tout au long de son parcours,
me redonne l'énergie perdue
dans la frénésie de la vie ne société.
@ Étoile,
RépondreEffacerDu ciment, il y en a malheureusement trop, et régulièrement, nous entendons parler des actions de la nature qui reprend ses droits.
La citadine montréalaise aime aussi l’eau d’un ruisseau ou d’une rivière qui coule tout doucement, qui serpente dans le bois ou tombe avec fracas dans un amoncellement de roches.
RépondreEffacerTes photos rendent bien la beauté de cette nature sauvage, et de la force incroyable de l’eau.
Pour ce qui est des photos que tu as prises du barrage, je trouve les prises de vues très originales.
Évidemment, tout le monde préfère la nature « au naturel », on ne peut pas être contre la vertu.
Mais comment trouver l’énergie la plus propre, sans détruire la planète?
L’énergie hydraulique? Mais sans détruire les cours d’eau.
L’énergie éolienne? Mais pas dans ma cour.
Le pétrole? Trop polluant.
Les centrales nucléaires? Dangereux.
Le bois? Délicat.
Le gaz de schiste? Pensez-y pas.
Le charbon? Pas question.
La citadine fait le mouton noir ce soir. Parce que la question est complexe.
Pour ce qui est du rocher Percé, je n’aurais pas pensé le réparer avec du ciment! Peut-être que ce visiteur travaillait pour une firme de génie conseil à Montréal. Dans ce cas, vous avez raison de vous méfiez. Faites enquête avant d’entreprendre des travaux. ..
Soyez tout de même courtois avec lui, le tourisme est une source de revenue.
Et la Gaspésie est un bien joli coin du pays à visiter.
@ Caboche,
RépondreEffacerL'énergie la plus propre, est celle qui nous est nécessaire, ce qui est nuisible et haïssable, c'est la surabondance, l'exagération, la recherche de profits mirobolants à n'importe quel prix, même au prix de la beauté, de la qualité de vie, de la salubrité de l'environnement.
Dans la recherche de l'énergie, comme dans celle des profits, la comme ailleurs, la modération a tellement meilleure goût.
Pour le touriste possiblement Montréalais amateur de ciment, sois sans crainte, nous savons vivre par ici, nous nous sommes contenté de sourire, et avons simplement continué notre route.