Notre dernière journée complète
sur la Côte Nord
achève,
il nous faut
trouver
un refuge
pour
passer
la nuit.
Bien des kilomètres
et des arrêts
depuis
que
nous
avons
quitté Havre Saint-Pierre,
il est maintenant
temps,
de s'arrêter
avant
que ne tombe
la nuit.
Après
quelques
valses hésitations,
notre choix
s'arrête sur...
que dans la charmante salle à manger
de cette chaleureuse auberge,
que nous avons pris notre repas du soir,
avant d'aller nous reposer,
dans un de ces motels rustiques à souhait.
Tout près, une réplique
des camps de bûcherons d'autrefois,
du temps où Franquelin était assiégé
pas ces gaillards venue de partout au Québec.
Avant que ne tombe la nuit,
cette tourterelle,
ainsi que ce Tamia rayer sont venue
nous souhaiter bon séjour.
Au matin, alors que nous terminions
nos préparatifs et que nous nous apprêtions
à reprendre la route, direction Baie Comeau,
toute une volée d'oiseaux,
sont venue nous souhaiter bonne route,
à leur manière.
Même celui ci, qui avait revêtu
ses habits de cérémonie nous salut du bout de l'aile .
Ne voulant pas être en reste,ce gaillard
aux couleurs éclatantes,vint faire son tour.
Il exécuta sa chorégraphie,
se sustenta sans gène,
poussa quelques notes
avant de filer vers l'inconnu...
Après s'être bien rassasier, ils allèrent
les uns après les autres, se réfugier
sur ce perchoir décorer à leur intention
et mis à leur disposition, par dame nature...
Ça fait tellement longtemps que j'ai fait ce genre de voyage... Vivement ma retraite!
RépondreEffacer@ Spécialiste de l'Éphémère,
RépondreEffacerLa liberté qu'apporte la retraite n'a de limite que l'épaisseur du porte feuilles...
Vous avez vu de bien belles choses lors de ce voyage.Il y a des beaux endroits au Québec à visiter n'est-ce-pas? En voyant tes photos,je me rapellais qu'enfant durant nos vacances scolaires on suivait mon père dans le bois.Le jour il était bûcheron,et le soir commis au petit magasin.Imagine il avait fait ses études en criminologie...Mes parents ne voulaient pas élever leur famille dans la grande ville.J'adorais le tout petit campe ,le lac tout près,la pèche,aller ramasser des bleuets.Et aussi aller manger avec mès parents le dimanche à la "cookerie".On ne s'enuyait jamais.C'était triste de quitter cet endroit pour retourner à l'école en septembre.J'ai hérité de mon amour de la nature de mes parents.Elles sont très belles tes photos merci de nous les partager et bonne journée Barbe Blanche.
RépondreEffacer@ Étoile,
RépondreEffacerDe belles trouvailles , partout, le Québec et beau, dans tous ses recoins, aussi petits soient ils...
Passer l'été dans les chantiers, une vie rêvée, pour tout enfant le moindrement rêveur.
C'est plein de tellement de jouets, plus intrigants et mystérieux les uns que les autres.
c'est sur, septembre arrivait beaucoup trop vite.
Avec une enfance telle, la nature est comme une nécessité, tout au long de la vie.
Barbe,
RépondreEffacerFranquelin est un ravissant village. J'avais une amie qui y demeurait; il y avait un autobus scolaire qui amenait les étudiants de l'endroit à l'école de Baie-Comeau.
Tes photos sont comme toujours à faire rêver; et j'aime tellement ton commentaire "La liberté qu'apporte la retraite n'a de limite que l'épaisseur du porte feuilles". Réaliste et trop vrai hélas!
@ Lise,
RépondreEffacerLe village de Franquelin, un vrai petit bijoux, et ses habitants sont tellement accueillants.