En ce douze mars deux mille douze,
Grande Vallée
se libère
lentement
mais
surement
de son
manteau
de glace,
l'hiver
tire
à sa
fin,
et bientôt.
le
printemps
prendra
toute
la place.
nous avons l'impression d'assisterà un déshabillage progressif
sur une musique de bord de mer.
Le dernier manteau arrivé
pendant la nuit,
se brise sur les crans,
lorsque la marée se retire.
Le linceul hivernal, quitte lascivement
la grève, pour se perdre
en haute mer.
Après avoir observer ce phénomène,
du niveau de la mer,
élevons nous un peu,
afin de mieux, constater
ce prodige naturel.
Vos photos sont toujours aussi magnifiques.Je vois qu'il y a un village tout près d'une falaise? ¨Ca doit être impressionant d'être tout près et de voir la mer au loin.Ici aussi,les glaces partent très vite.Il a fait 24 degrés aujourd'hui. Merci Barbe Blanche et je vous souhaite une bonne semaine.
RépondreEffacer@ Étoile,
RépondreEffacerDe voir la mer, comme ça à perte de vue, ce qui m'impressionne le plus, c'est quand nous descendons ne côte et de percevoir la rondeur de la terre, quand il y a un bateau au loin, en descendant la côte, le bateau disparaît, pour réapparaître lorsque nous remontons la côte.
Bonne semaine à toi aussi, Étoile.
Très impressionnant ce "déshabillage progressif" de la mer et plus particulièrement en vue plongeante.Quelles belles photos.
RépondreEffacerLe déshabillage de la ville au printemps est un peu moins joli malheureusement. À la fonte des neiges, apparaissent les détritus laissés le long des rues et sur les parterres.
@ Caboche,
RépondreEffacerJe te confirme Caboche, que oui, le déshabillage de la ville au printemps, quelle soit petite ou grande, se ressemblent, et je préfère de loin, ceux de bord de mer.
Je prend bien garde de ne pas diriger l'objectif de ma caméra en direction des rues de la citée...
Le bruit des glaces qui s'entrechoquent en descendant le courant, j'adore!
RépondreEffacer@Spécialiste de l'éphémère,
RépondreEffacerLe chant des glaces qui se font la cour, c'est une douce mélodie à mon oreille...