07 décembre 2011

Dimanche après midi,, au bord de la mer...

Ce cap se souvient,
un soir entre 1940 -1945,
                                              une torpille allemande est venue le frapper,
                                         il se souvient et il pleure,
                                        le froid gèle aussitôt ses larmes.
                                                 Le temps a passé, et la vie a repris son cours,


                                                  Il faut dire, que la beauté environnante
                                           aide à cicatriser les blessures passées.
                                            Les crans emprisonnent une multitude
                                         de mares d'eau, où prolifère la vie.  
                                              Ce sont, de véritables pouponnières.
                                            Pour celui qui prend le temps de bien regarder,
                                            il peut à l'occasion, y pêcher une poule d'eau.
                                                    Mais, il faut être observateur et très patient.



17 commentaires:

  1. J'aime ça quand tu nous racontes tes histoires illustrées de tes photos. On dirait qu'on y est.

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  2. C'est fort la vie, c'est grand pour qui regarde avec les yeux du coeur.

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  3. @ Zoreilles,
    Et tu ne peux imaginer, tout le monde qui était avec moi au bord de la mer cet après midi là,
    vous étiez légion.
    Bon, la je rêve, il ne vient quand même pas autant de lecteurs et lectrices que ça ici...
    J'aime ça, raconter des histoires avec mes photos...

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  4. @ Étoile,
    Et quand, c'est beau de même, il est facile de le présenter aux monde...
    Il est vrai, que la mer, ça ouvre les horizons...
    Ces étendues infinies, t’oblige à voir loin, très loin, à l'intérieur de toi...

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  5. Cher Barbe Blanche, (on dirait que je commence ma lettre au Père Noël!...)

    Tu dis à Étoile : « Ces étendues infinies t'obligent à voir loin, très loin, à l'intérieur de toi... »

    C'est tellement beau, ça... Vraiment très très très profond et beau. T'es un sacré poète, toi?

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  6. Tu me dis que tu n'as quand même pas tant de lecteurs et lectrices que ça...

    Ça, mon cher Barbe Blanche, on le sait jamais pourquoi on publie, des textes et des photos, qui nous lit, combien sont-ils, et ce que ça leur fait. On ne peut présumer de ça rien qu'avec les commentaires qu'on nous envoie.

    J'ai presqu'envie de te raconter quelque chose qui m'est arrivé hier... Ah pis oui, je te le raconte :

    Tu sais, mon dernier billet, « Elle s'appelait Aldina... »? Aldina était la grand-mère de ma cousine Diane, de mes tantes Léa et Marguerite, de mes oncles Eddy et Julien, la grand-mère de d'autres de mes cousins aussi. Je ne savais même pas que ces membres de ma parenté me lisaient. Je l'ai su hier.

    Diane m'a appelée, elle se faisait la porte-parole de toute la famille d'Aldina, dont mes oncles, tantes, cousins, et elle-même. Elle avait essayé à plusieurs reprises de m'écrire un commentaire mais elle avait échoué à chaque fois, il paraît que c'est ben compliqué... Alors, elle m'a dit que ce texte-là, mon dernier, elle l'avait imprimé pour toute la famille, qu'on lui en redemandait des copies pour ceux qui n'ont pas l'Internet et que elle-même, ça l'avait aidée à accepter le décès de sa grand-mère qu'elle aimait tant, et moi, je ne soupçonnais même pas rien de tout ça.

    J'ai été très émue d'entendre tout ce qu'elle avait à me dire, entre autres que son père, le presque jumeau de mon père, à 83 ans, ne consulte que deux sites sur son ordinateur : Chez Zoreilles et la nécrologie!!! On a bien ri mais ça m'a fait chaud au coeur pareil.

    Tu vois, on ne sait jamais pour qui et à quoi sert ce qu'on partage ici, sur nos blogues!

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  7. @ Zoreilles,
    Ho Ho Ho, ma chère Zoreilles, tous tes voeux seront exaucés, avec un pareil compliment au vieux barbu que je suis...
    Ho Ho Ho...

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  8. @ Zoreilles, il est très vrai, que ce que nous semons sur nos blogues et ailleurs, ont parfois des répercussions qu'il nous est impossible de prévoir.
    Quand une histoire comme celle que tu racontes ici arrive, hé bien, ça donne envie de continuer encore longtemps.
    Il m'est arrivé aussi, que des gens me disent, continu tes histoires, on aime ça, même si on ne commente pas souvent.
    Je te remercie, pour ce beau partage.
    Alors, que nos lecteurs soient légion ou quelques un, le plaisir de publier, est parfois suivi du plaisir qu'a le lecteur à nous lire.
    C'est très gratifiant.

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  9. Oui Monsieur Barbe blanche il y a des lecteurs qui vous lisent soyez en sur.Comme le dit si bien zoreilles on ne sait pas qui nous lit c'est surprenant. Moi je vous avoue franchement, que je lisais plein de blogues qui m'intéressaient sans jamais oser écrire un petit mot. Je faisais ma "voyeuse" et je me faisait une idée que je gardais pour moi sur les différents sujets. Je n'osais pas. C'est mon fils qui un jour m'a dit pourquoi tu n'écris pas sur ces blogues tu pourrais y prendre goût? J'ai mis du temps à me décider car je me sentais un peu imposteure,en me mêlant des affaires des autres.Voilà, je ne regrette pas aujourd'hui d'écrire sur des sujets qui me touchent et qui m'apprennent des choses intéressentes. Aussi les sites où je vois des photos magnifiques et qui me font découvrir des régions où je ne suis jamais allé et qui sait peut-être un jour aller me saucer les pieds à la mer.Merci barbe blanche et les autres blogueurs,sachez que vous êtes appréciés.

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  10. @ Étoile,
    Ce que tu racontes,chère Étoile, ressemble en tout points à ce que je faisais au début, quand j'ai découvert le monde des blogueurs, je visitais en silence, presque sur la pointe des pieds, pour être bien sur de ne pas déranger, puis un bon jour, presque en m'excusant, j'ai placé un commentaire, puis, un autre sur un autre blogue, pis là ben, je n'ai plus été capable d'arrêter, et à la retraite, j'ai à mon tour, ouvert ce petit coin de Gaspésie...
    J'aime publier, mais par dessus tout,j'adore lire les commentaires de mes lecteurs et lectrices.

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  11. J'ai lu tous tes derniers billets sans commenter, et je dirai simplement que si tes photos et tes mots sont magnifiques, le fait que tu prennes le temps de répondre aux commentaires est un cadeau, vraiment!

    Tu fais du bien, à la fin d'une pénible année, merci!



    Lise

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  12. Ah ben, moi aussi je vais prendre goût à te lire mon grand ami. Tu publies des photos pour ma douce qui vient de ton coin!
    Elle aime bien revoir son coin de pays même si elle n'écrit pas.
    Merci pour elle!

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  13. @ Lise,
    Les cadeaux, ce sont vos commentaires, à tous, et Lise, ton commentaire d'aujourd'hui entre autre, , m'a fait le plus grand bien, comme tu le dis si bien, "à la fin d'une pénible année"

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  14. @ Le Factotum,
    Je suis tout aise, mon ami,de constater que mes photos touchent ta douce Gaspésienne...
    Que tu me le dise, me fait chaud au coeur.
    J'ai ouvert ce blogue, justement pour y publier mes photos, pour les exposer au regard des visiteurs, comme dans une exposition.

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  15. Depuis le temps que je te lis et que je visite la Gaspésie en ta compagnie, je n'avais jamais réalisé qu'on pouvait voir toutes les photos en grande résolution d'un seul clic, sans les agrandir l'une après l'autre! Bon, ça fait un bon moment que je vis en recluse.
    Merci pour les très belles photos.
    C'est encourageant et motivant d'avoir des commentaires des lecteurs mais le manque de temps, la gêne, la pudeur, une foule de "bonnes" raisons retiennent les gens d'écrire.
    Alors, on écrit ou publie pour soi, pour se faire plaisir et c'est déjà bien qu'on puisse le faire librement sur le Web sans attendre après une maison d'édition.

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  16. @ Caboche,
    Il me fait plaisir, de t'accueillir au bord de la mer, il y a longtemps que je t'y attendais...
    Pour le nombre de lectrices et lecteurs qui passent ici, je ne me tourmente pas avec ça, j'aime publier, si il passe des gens et que en plus, certain laisse un commentaire, hé bien, tant mieux, sinon, la publication est en place, et un jour ou l'autre, quelqu'un quelque part, le verra et ne tirera ce qui lui convient.
    Et comme tu dis si bien, nous ne sommes pas poussés par une maison d'édition qui vise la rentabilité à tout prix...

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  17. @ Caboche,
    pour le visionnement des photos pleine grandeur d'un seul clic, c'est un récent cadeau de M. Blogueur.

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