Je vous ai promis récemment, de vous faire faire un petit tour du côté du Grand Étang.
Hé bien, tout le monde à bord, nous levons l'ancre...
Nous voici donc sur le dessus de la côte, juste avant d'y arriver. Nous approchons à grand pas, et apercevons une petite portion de cet étang grand comme un lac...
De l'autre bord de la courbe,
Hé bien, tout le monde à bord, nous levons l'ancre...
Nous voici donc sur le dessus de la côte, juste avant d'y arriver. Nous approchons à grand pas, et apercevons une petite portion de cet étang grand comme un lac...
De l'autre bord de la courbe,
La Mer nous accueille coiffée de ses nuages qui semblent menaçants, mais il n'en est rien...
Si nous prenons le temps de bien regarder, ils semblent plutôt gracieux...
Le premier cap rencontré à l'arrivée,laisse deviner un génie qui surveille les allées et venues de tous et chacun...
Pris d'une envie subite, je cherche du regard les cabinets d'aisances qui y trônent depuis des lustres, j'ai beau chercher de tous les bords, ils ont disparu...
Il n'y reste que le mât sur lequel flottait fièrement autrefois, le drapeau du Québec...
Cet absence de bâtiments, a pour effet d'inviter le regard au loin, et nous présente la décharge de l'étang entrevu un peu plus tôt...
Deux ou trois jours de pluie ont suffit à lui redonné son allure des grands jours que le manque de précipitation de l'été qui achève, lui avait fait perdre...
Deux ou trois jours de pluie ont suffit à lui redonné son allure des grands jours que le manque de précipitation de l'été qui achève, lui avait fait perdre...
Au temps du noir et blanc, j'ai pris cette photo... Plusieurs fois, en passant par là, je me disais:"il faudrait bien un jour venir tirer le portrait de ces bâtiments" Alors, un jour je me décide et je m'exécute, bien m'en fit, il était moins une, peut être une semaine ou deux après cette prise de photo, les derniers vestiges de la présence humaine au Grand Étang disparaissaient...
Je me suis laissé dire qu'au détour des années 1860, 1870 quelques mille personnes habitaient au Grand Étang...
Au début du vingtième siècle, il y avait même des cabines (Motel) sur la langue de terre qui sépare l'étang de la mer,
Merci pour la visite qui m'a sortie d'une journée bien ordinaire. J'apprécie toujours...et j'ai hâte de revisiter la Gaspésie et le Bas du fleuve.
RépondreEffacer@ Marico, des visites guidées, je vous en réserve quelques une pour bientôt...
RépondreEffacersalut yvon je me souvient de quelques dimanches apres midi etre aller nous baigner au grand étant
RépondreEffacerUn gros merci pour cette arrivée « live » par la route montagneuse et sinueuse qui mène au Grand Étang et ce voyage dans le passé aussi, c'est toujours intéressant, vivifiant, fascinant.
RépondreEffacerMa photo préférée, c'est celle où l'on voit ces cascades d'eau vive et rafraîchissante, comme un escalier qu'on aimerait gravir.
Je suis venue prendre ma pause avec toi ce matin, dans ta belle Gaspésie, ça me tente même plus de retourner à mes dossiers!!!
@ Richard, salut à toi, je n'ai point de souvenir de baignade au Grand Étang, mais de pêche à la truite sur la glace, au printemps, pas beaucoup de truite, mais j'y ai atrappé tout un coup de soleil, il est resté imprimé dans les annales, du moins, les miennes, impossible d'oublier...
RépondreEffacer@ Zoreilles, sinueuse la route empruntée pour arriver au Grand Étang, attends de voir celle empruntée pour en repartir...
Pour ce qui est de l'escalier humide, je t'en réserve tout un très bientôt...
Bon maintenant, à tes dossiers...
Les hommes sont partis
RépondreEffacerLes nuages sont passés
L'Esprit est resté...
Pénéloop
@ Pénéloop, Bienvenue par chez nous,il me fait plaisir de t'accueillir sur le bord du Grand Étang...
RépondreEffacerles vagues remodèlent le rivage
elles effacent toute traces de passage...
Tu m'as donné le vertige dans la côte !
RépondreEffacer:-)
@ Crocomickey, Attends le chemin mou, tu vas pogner mal au coeur...
RépondreEffacerSuperbes photos !!
RépondreEffacer@ Henri, Sois le bienvenue,dans mon monde en image, et merci pour le compliment, j'apprécie vraiment...
RépondreEffacerEn 1728 Michel Sarrazin qui était Seigneur des lieux y découvrit une mine d'ardoise qu'il fit exploitée à grands coûts mais sans grands succès car ce n'était pas un matériau de couverture qui convenait au climat de la Nouvelle-France.
RépondreEffacerLucien M
@ Lucien Minville,
RépondreEffacerBienvenue par chez nous, Lucien, et merci pour cette page d'histoire de la Gaspésie, il est toujours intéressant de faire connaissance avec notre passé...