La tempête automnale a sévit,
l'hiver est passé.
Le printemps venu,
les résultats
refont surface.
D'aucun parleront de débris,
d'autre diront
que la nature
hurle sa souffrance.
À bien y regarder,
nous y voyons
une nature
qui se protège.
Elle couvre
ses bords de mer
afin de les soustraire
à l'oeuvre de l'érosion
et garder ainsi,
les lieux de nidification
nécessaires à la pérennité
d'un grand nombre
d'espèces d'oiseaux
qui tout l'été,
nous charment de leur beauté
et de leurs chants mélodieux.
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