Je décide
de faire un peu e ménage,
et de ramasser,
quelques tiges de rosiers,
laissées sur place,
il y a environ deux ans,
quand,
tout à coup,
tête blanche
chante à tue tête,
gesticule,
visite,les branches environnantes,
et multiplie
les fanfaronnades
pour attirer mon attention
loin, bien loin
de l'endroit où je travaille.
Sans me faire prier plus longtemps,
je rebrousse chemin.
Quelque temps plus tard,
sans mon râteau cette fois,
je revient pour
ramasser au moins quelque branches,
quand, je me retrouve
le nez dans le nid,
face à face,
avec tête blanche.
Pour la suite de l'histoire,
elle se raconte
elle même,
toute en images.
à la maman, surtout, depuis la naissance.
tout comme tête blanche,
il a fière allure n'est ce pas...
à nous voisiner et à nous apprivoiser l'un l'autre.
Les petits sont nés, et au retour d'un voyage,
j'ai retrouvé un nid vide.
Les oisillons ont pris leur envol
vers une vie d'aventure.
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Wow, merveilleux, amusant, exaltant, de toute beauté ces images qui redonnent goût à l'écoute, l'émerveillement, la méditation, le recueillement, la contemplation et j'en passe. Félicitations pour le partage, la patience, le respect et la saisie du moment instantanée et du message de la vie par la protection de cette couvée 2014 présage de jours meilleurs.
RépondreEffacer@ Géraldine,
RépondreEffacerLa famille s'agrandit, c'est en fait, la deuxième couvée de Tête Blanche,
la vie gazouille tout autour de la maison, pour le plus grand bonheur
des humains qui y habitent.
Je seconde à deux mains tout ce que dit Géraldine plus haut... Quel beau moment j'ai passé ici avec tes images... Eh que ça commence bien la journée... T'es un vrai photographe poète amoureux de la vie... Plus que jamais!
RépondreEffacer@Zoreilles,
RépondreEffacerAmoureux de la vie,
avec ce qu'elle
a de plus beau,
les oiseaux et leur nourriture,
les plantes dans toutes leurs splendeurs.
Bientôt, nous retournons au bord de la mer,
des heures de bonheur.
Ah la mer... Prenez-en une bonne bouffée d'air salin pour moi. Je voudrais tant voir la mer, surtout de ce temps-là, elle me manque, si tu savais... Moi, j'attends de la belle grande visite en fin de journée et ce, jusqu'à lundi prochain. Ils nous arrivent de Rimouski et de Lévis, des amoureux fous du fleuve et de la mer qui reviennent dans leur Abitibi-Témiscamingue natale, comme des saumons ont besoin de retourner à la source! C'est mon frère Jocelyn, sa femme, leur grande fille qui est maman d'une petite puce de 4 mois qu'on pourra bécoter et bercer pour la première fois. Toute ma famille au grand complet sera réunie ici chez moi pour les prochains jours. Je suis presque prête mais j'ai pas une minute à perdre aujourd'hui pour terminer toutes mes popotes, c'est que je veux profiter de leur présence au maximum et surtout pas me retrouver dans les chaudrons pendant ce précieux temps. Alors, j'habite presque sur la rue Zoreilles présentement, hihihi!
RépondreEffacerBon retour à la mer, mon chanceux de Barbe blanche!
@ Zoreilles,
RépondreEffacerLa rue Zoreilles, il suffit de la nommer, pour qu'elle s'anime de toute une foule de beau et bon monde,
toute une fin de semaine devant toi,
tout ce beau monde, j'ai l'impression de les connaitre,
bonne fin de semaine à tous vous autre.
Le bord de mer,
il est bientôt,
sur mon prochain billet.