Comme vous avez pu le constater,
les vitraux sont omniprésents
à la basilique.
Je vous offre ici,
ceux qui évoquent
le travail
de différents corps de métier,
tel,
les travailleurs de la mer,
ceux qui récoltent les trésors du sous sol,
et bien sur,
les cueilleurs de la forêt..
Qu'ils viennent, de la Gaspésie,
des Iles de la Madeleine
ou
de l'Abitibi.
Avant de partir, jetons un dernier coup d’œil,
et d'un pas assuré,faisons demi tour,
et regagnons la sortie,
sans oublier, d'immortaliser les fresques qui nous souhaitent santé, bonheur et joie
dans l’accomplissement de chacune nos tâches quotidiennes.
Après toute une journée à visiter ces joyaux patrimoniaux, je continu mon voyage.
peut être, un jour, je vous raconterai la suite.
Cher ami de la Gaspésie,
RépondreEffacerJe passe en coup de vent, je reviendrai voir tes photos de ces vitraux et différentes œuvres d'art mais je ne voulais pas passer à côté en ce 24 décembre de venir te souhaiter ainsi qu'à tes proches un Noël quand même serein, quand même chaleureux, quand même solidaire et juste et bon. L'essentiel, c'est d'être aimé, comme le chantait Ginette Reno. D'être supporté fait du bien aussi. D'être compris, c'est plus rare mais qu'importe, quand on a la force et le courage de mener des luttes pour faire triompher la vérité et la justice. Claude Robinson est un héros mais il y en a d'autres aussi, moins connus, qu'on reconnaîtra un jour comme de ceux qui se sont battus et qui ont été bafoués pour les convictions qu'ils avaient et les valeurs qu'ils défendaient.
« Un homme qui se tient debout, c'est le plus beau des monuments » disait Georges D'Or et aujourd'hui, c'est plus vrai que jamais.
Un Noël d'amour, d'amitié, d'affection et de paix... le plus possible.
@ Zoreilles,
RépondreEffacerMerci, merci, merci, ton souhait me va droit au coeur,
doux comme une brise printanière
un léger vent du large,
venu adoucir la brûlure
laissé par une blessure
qui tarde à cicatriser.
Permets moi de à mon tour,
te souhaiter, à toi et à tous ceux
et toutes celles que tu aime,
un Noël des plus chaleureux,
sereins et plein de tendresse.
Quelles merveilles!
RépondreEffacerJe crois que c'est la première fois que je vois dans une église des vitraux à la gloire de l'homme, des métiers qu'il exerce, en commençant par les plus humbles. C'est là que s'exerce la noblesse de l'art. À travers ces œuvres d'art, l'humain devient divin. Merci encore de nous faire découvrir ces trésors cachés.
@ Jackss,
RépondreEffacerTu remarqueras que sur ces vitraux, il n'y a que des travailleurs et des travailleuses,
tous des personnes honnêtes et franches.
Ce sont des personnes nécessaires et utiles.
N'y sont représentés ni avocats, ni juges, uniquement des personnes honnêtes et intègres y ont une place.
Bonsoir Barbe Blanche!
RépondreEffacerJacks m'enlève les mots du clavier!!! De véritables merveilles.
J'ai visité beaucoup d'églises un peu partout mais je n'ai jamais vu des vitraux représentant les métiers les plus humbles, les nobles métiers. Cette Basilique est un joyau architectural que je découvre pleinement grâce à tes magnifiques photos.
Les gens visitent souvent des églises lorsqu'ils sont à l'étranger, prennent beaucoup de photos, s'exclament sur la beauté de ces monuments. Ils ont moins tendance à le faire au Québec. C'est dommage, ils pourraient faire de belles découvertes.
Lorsque je suis entrée dans l'église de Gaspé, ce bateau de bois renversé, un homme touchait l'orgue...j'ai imaginé les pêcheurs d'autrefois qui devaient rendre grâce lorsque la pêche était bonne. Un beau moment. Un beau souvenir.
Barbe blanche, je te souhaite une nouvelle année lumineuse pour toi et les tiens. Une année à l'image de ces vitraux...qui laissent passer la vérité...
@ Canneberge14,
RépondreEffacerJ'aime bien, prendre en images, les églises de par chez nous,
et venir à l'occasion vous les présenter ici.
Ce fut le cas déjà, pour celle de Natashquan, de Percé et aujourd'hui,
celle de Sainte Anne de Beaupré.
C'est tellement vrai, qu'elles ont toutes,
un petit quelque chose de particulier et de charmeur.
Pour celle de Gaspé, lorsque je suis arrivé à Gaspé,
quelque part, en 1968, il n'y avait que les fondations
de faites, et un toit qui les recouvrait,
c'était assez unique comme lieu de culte.
Depuis comme tu as pu le constater,
elle s'est faite une meilleure carcasse.
Il y a quelques années,
le corps de Monseigneur François Xavier Ross,
premier évêque du diocèse y a été transporté
et y est maintenant bien chez lui,
dans sa chapelle, à la gauche du choeur.
Il est même possible, de lui rendre visite à l'occasion.