08 décembre 2012

Entre deux zones nuageuses...

Je suis 
dernièrement,
entré
dans 
la cinquième
dimension.
Alors 
que tout autour,
le brouillard
dominait,
                                                juste là, devant chez moi,
                                             la lumière jouait avec quelque rares nuages.
                                                   Ces coquins, se miraient lascivement,
                                              dans ce miroir offert,
                                             gracieusement par la rivière Dartmouth.









                                                de l'autre bord de la percée lumineuse,
                                            le mystère planait, déformant même,
                                            le paysage ambiant.
                                              Prenant un peu de distance,
                                           je suis arrivé à saisir ce phénomène surprenant,
                                                       la traverse de Saint-Majorique,disparaissant,
                                            plongeant, dans une contrée inconnue.

                                              Sous la force d'attraction de ce monde inconnu,
                                            elle commence à s'incliner dangereusement.                                           
                                                Jusqu'où nous conduira cet étrange phénomène?
                                             Est ce la route qui mène à la naissance
                                             de ce grand pays qu'est le Québec...

16 commentaires:

  1. Tes magnifiques photos me font penser à la chanson de Jean Lapointe :Chante la ta chanson.
    N'entends tu pas le concert de la joie
    Tout ce qui vit laisse entendre sa voix
    Même le ciel gris fait chanter les orages
    Y a un soleil derrière chaque nuage
    Chante.Chante.
    Si tu es le chanceux qui a trouvé la route menant à la naissance de ce grand pays le Québec,voudrais tu me faire signe s'il-te-plaît.J'ai pas beaucoup de bagages à faire je suis prête en cinq minutes. Bon dimanche Barbe blanche et merci pour ta belle générosité photographique.

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  2. Elles sont très impressionnantes ces photos et particulièrement les trois dernières qui nous transportent dans une quatrième ou cinquième dimension, je ne sais trop.
    Il me semble qu'on voit la force et la fragilité du pays.
    Ces paysages sont de toute beauté et tu as le don de capter leur lumière.

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  3. On dirait un filigrane nous enveloppant de ses mystères.

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  4. @ Étoile,
    "Y a un soleil derrière chaque nuage"
    Tellement vraie, même si parfois, nous sommes tentés d'en douter.
    La route du Pays, est semble-t-il longue et tortueuse, elle est même pleine des embûches qui déposent ceux la même qui devraient la déblayer...
    Mes bagages sont fait depuis tellement longtemps, qu'ils commencent à être un peu démodés,mais comme je me fout de la mode...

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  5. @ Caboche,
    Nous entrons dans la cinquième dimension, là où tout est possible, j'y ai rencontré, la présidente de la république du Québec, elle y est radieuse, depuis le grand jour de la libération...

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  6. @ Le Factotum,
    Je regarde à gauche, je regarde à droite, je n'y vois que le brouillard qui recouvre tout, sauf, là, devant moi,où règne la lumière.
    Un message d’ailleurs, ou simplement un hasard...

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  7. Une chance que t'étais là, on aurait tout manqué ça!

    Comme d'habitude, j'ai cliqué sur tes photos pour les voir de plus près, ça vaut tellement la peine. Je m'en suis régalé. J'aime particulièrement quand les nuages font la bise aux montagnes, le miroir de la rivière qui double la beauté des paysages et le mystère enveloppant des dernières qui nous laissent penser que le pays du Québec, s'il était un peu plus « enluminé », on n'aurait pas de misère à se l'approprier pour le défendre et le protéger.

    Pas de neige encore chez toi? En tout cas, il n'y en avait pas beaucoup samedi... Hier, j'ai pelleté chez nous pendant 1 heure et 15 minutes. Une chance que j'aime ça!

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  8. @ Zoreilles,
    Le pays, sous les projecteurs, mais, ce serait la gloire assurée, comme il serait agréable de le voir dans toute sa splendeur, et comme nous serions fiers de le propulser sur l'échiquier planétaire...
    Un bien beau projet.
    Tu as pelleté hier, pauvre toi,
    c'est vraie, tu habite au Nord toi...
    Ici, jusqu'à hier, rien, tout gris, mais, depuis, il y a eu hier, justement, la neige s'est mise à tomber, ne sachant plus comment s'arrêter, toute la journée, pis toute la nuit.
    Ce matin, tout est recouvert d'une belle nappe blanche, c'est à croire, que le Nord nous a rattrapé.
    Bon, je file dégager mon entrée.

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  9. Ne me plains pas trop pour le pelletage, Barbe blanche, j'adore ça! C'est pas tant qu'il y avait une grosse bordée mais que la cour est tellement grande, d'abord l'énoooorme stationnement et ensuite, le grand escalier qui descend le long du garage et qui mène à la maison... Et puis il faisait si beau hier, pas froid non plus, avec la neige pas pesante, c'était un bonheur et comme tu dis, le paysage est recouvert d'une belle nappe blanche!

    Aujourd'hui c'est aussi beau mais sans neige à pelleter. Zut alors, je me suis garrochée dans les pâtés à viande et autres recettes en prévision de toute la visite qui viendra aux Fêtes.

    Si t'étais proche, j'irais bien t'aider à dégager ton entrée!

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  10. @ Zoreilles,
    Comme tu le dis si bien,"C'est pas tant qu'il y avait une grosse bordée" mais il y en a grand longtemps à dégager.
    Avec mon petit tracteur, ce fut presque un plaisir à nettoyer.
    Une fois, l'outil avait manqué, un dimanche,alors, il fallut sortir les pelles, à deux, il nous a fallut huit heures pour nettoyer,juste assez large pour pouvoir sortir.
    Depuis, avec le petit tracteur, il y a aussi, une souffleuse prête à prendre la relève si nécessaire.
    Pis là, tiens toi bien, j'arrive, je me laisse guider par l'odeur des pâtés,
    t'ais je déjà dis que j'ai un odorat hyper développé...

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  11. L'odeur de mes pâtés à viande s'est rendue jusque dans « TA » Gaspésie? T'as l'odorat hyper développé, c'est vrai, je m'en souviens, t'en avais déjà parlé... Aujourd'hui, je boulange du pain de ménage, ça faisait longtemps que j'en n'avais pas fait et ça ne m'étonnerait pas de te voir retontir!!!

    Pelleter avec un tracteur, ça va plus vite! Nous autres, on a une souffleuse mais elle ne fait pas les escaliers, alors souvent, je fais une surprise à mon homme et je pellete toute la cour avant qu'il arrive.

    Bonne et belle journée à toi, on est le 12/12/12 et sur l'heure du dîner, à 12:12, je pense qu'on devrait faire un voeu!

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  12. Joyeux Noël Barbe Blanche

    Tes photos sont toujours aussi belles et parlantes. Je crois qu'une nouvelle carrière se dessine en toi. Tu vas bientôt pouvoir publier de véritables photo-romans nouveau style.

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  13. @ Zoreilles,
    C'est donc toi, qui boulangeais aujourd'hui, je me demandais d'où pouvait bien venir cette bonne odeur de pain frais.
    Tu vas rire, mais j'ai déjà, dans mon autre vie, celle de travailleur tabletté, vu, deux types, employés d'en entrepreneur en déneigement, pelleter un escalier avec une souffleuse, en descendant bien sur, mais quand même, faut le faire, je n'en croyais pas mes oreilles, oupss, mes yeux...
    Si le coeur t'en dit, un jour de venir me jouer un tour, ben, la pelle est tout près de la porte, tu pourras aussi, t'amuser un peu avec le tracteur, tu vas voir, il souffle en masse...
    Bonne journée à toi, et dis toi, qu'après demain, ben, c'est vendredi.

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  14. @ Jackss,
    C'est tout un plaisir, de te revoir par ici Jackss,
    j'espère que tu as fais bon voyage dans les europes et que Jipé a connut tout le succès qu'il mérite.

    Une nouvelle carrière qui se dessine, vois tu, c'est que j'y songe depuis un petit bout déjà, mais, c'est sur, ce ne sera probablement pas sous forme de photo-roman, quoique...

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  15. @ Jackss,
    Quoique, le jour où je me déciderai, il y aura des photos, et aussi, des histoires.
    pour l'instant, je monte en fin d'année, un calendrier que j'offre en étrenne, à mes enfants et amie.

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