02 août 2017

Rivière débordante le printemps venu

3 commentaires:

  1. C'est fort, l'eau, hein? Tu sais quand le processus est enclenché, y a rien à faire, il suit son cours! Tasse-toi de là, c'est la rivière qui passe!!!

    Les zoreilles ont dû te siler particulièrement dimanche le 30 juin autour de 9 heures! C'est que notre vol en partance du Havre-aux-Maisons tôt dimanche matin faisait un petit saut de puce à Gaspé pour débarquer des personnes et en rembarquer d'autres avant de redécoller pour Québec ensuite Montréal.

    Mon Gilles, il aime beaucoup les Îles de la Madeleine, ça fait trois fois qu'il m'accompagne là-bas. Mais il a grandi et il carbure encore très énormément beaucoup aux forêts, aux lacs et aux rivières. Alors, tu vas rire...

    En approchant de chez vous, le nez collé au hublot de l'avion, il voyait tes grands espaces, tes montagnes, tes rivières, tes forêts et il s'est exclamé tout fort sans s'en rendre compte : « Host... que ça fait du bien de voir des épinettes, des trembles pis des bouleaux! »

    Je me suis dit que j'allais te raconter ça.

    Tu veux rire encore?

    On a changé d'avion à Québec et on est repartis à Montréal à bord d'un plus gros oiseau de fer. Atterrissage en douceur à 10 h 15 heure de Montréal. On récupérait nos bagages, la voiture et on poursuivait direction chez nous (640 km donc à peu près 8 heures de route) et après avoir cassé la croûte avec ses grandes sœurs et les beaux-frères des Laurentides avec lesquels on avait rendez-vous à la Porte du Nord à St-Jérôme, en arrivant près de Cadillac où l'on prend d'habitude le chemin pour Rapide Deux, notre beau-frère Luc a dit à Gilles : « Veux-tu qu'on te débarque ici en passant? » et Gilles lui a répondu : « Non, je vais aller chez nous pour me préparer une glacière! »

    Donc, lundi matin, pas tard, il décollait pour le campe... d'où il revient ce soir pour souper.

    Ce gars-là, on pourrait le faire déménager en Gaspésie mais jamais aux Îles de la Madeleine!!!

    RépondreEffacer
  2. Erreur, c'est pas le 30 juin, c'est le 30 juillet que les zoreilles ont dû te siler!

    RépondreEffacer
  3. @ Zoreilles,
    c'est donc ça, le changement de tonalités avec mes acouphènes,
    pendant un court instant,
    j'ai changé de musique dans mes oreilles.
    Ton Gilles,je le comprends tellement,
    je vais te dire un secret,
    je peux aller faire un tour ailleurs,
    mais un moment donné,
    il faut que je revienne,
    pour sentir la mer, sillonner les montagnes,mon pays quoi,
    avec les arbres, mon jardin d'épinettes, de sapins de bouleaux et de noisetiers.
    La vraie vie, c'est ça.

    RépondreEffacer