Aux jours bénis de mon enfance,
je me suis
souvente fois,
retrouvé au bord de la mer,
à jouer,
pardon, travaillant
à modifier la disposition
des roches entre les crans.
J'y ai dansé tellement de fois,
que courir sur les roches
était pour moi
comme une deuxième nature.
Bien sur, glisser sur le goémons
était pour ainsi dire,
inévitable.
Les éraflures faisaient parti
de mon quotidien,
mais, jamais assez graves
pour me faire quitter
mon chantier si important
pour l'avenir du monde.
Puis, l'heure du repas approchant,
je revenais tout simplement
à la maison,
où m'y attendaient quelques corvées
avant de passer à table.
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