15 janvier 2017

Sur les crans tout simplement.

Aux jours bénis de mon enfance,
je me suis
souvente fois, 
retrouvé au bord de la mer,
à jouer,
 pardon,  travaillant
à modifier la disposition
des roches entre les crans.

J'y ai dansé tellement de fois,
que courir sur les roches 
était pour moi 
comme une deuxième nature.

Bien sur, glisser sur le goémons
était pour ainsi dire,
inévitable.
Les éraflures faisaient parti
  de mon quotidien,
mais, jamais assez graves
pour me faire quitter
mon chantier si important 
pour l'avenir du monde.

Puis, l'heure du repas approchant,
je revenais tout simplement
à la maison, 
où m'y attendaient quelques corvées
avant de passer à table.







Aucun commentaire:

Publier un commentaire