Les nuages
étaient omniprésents,
tout était sombre,
comme si
la nature
renonçait
à sourire.
Tout était gelé,
recouvert d'un blanc linceul.
Même la cloche
n'osait tinter.
C'était comme si le temps
avait cesse de tourner.
Puis, petit à petit,
les nuages se distancèrent,
c'était comme si,
l'espoir renaissait,
et tout d'un coup,
le soleil éclaira
la scène de tous ses feux.
Le phare alors,
présenta toute sa beauté
dans la lumière du jour.
Disons que si tu n'aimes pas l'hiver tu la poses dans toutes ses blancheurs, qu'il y ait beaucoup ou pas de neige. Ces photos sont dignes d'un film! En tout cas elles sont des ambassadrice de notre belle Gaspésie.
RépondreEffacer@ Géraldine Fortin,
RépondreEffacerDe l'hiver, ce sont ses froideurs qui m'irritent
je déteste avoir froid.
mais les rondes blancheurs
de cette saison,
m'inspirent,tout autant
que les formes toutes blanches
des jolies femmes
lorsqu'elles arrivent sur les plages
au printemps...
Malgré ce ciel tourmenté (de toute beauté) la lumière du phare a suffi pour me donner de l'espoir que des jours meilleurs allaient bientôt se pointer. C'est de ta faute, tu me prends par les sentiments, tu connais mon grand amour pour les phares!
RépondreEffacer@ Zoreilles,
RépondreEffacerDerrière l’austérité des sombres nuages,
se cache la lumière de la vie.
Les oppresseurs passent,
reste l'espoir du peuple déterminé.
J'aime bien " Les oppresseurs passent "
RépondreEffacer@ Le factotum,
RépondreEffacerMoi aussi, et j'ai grandement besoin d'y croire.
En bon syndicaliste, je nous souhaite de toutes et tous ensemble,
les sortir de nos vies.