Elle prend la pose,
fait la belle,
cherchant
à
présenter
son
meilleur profil.
Elle parade,espérant ainsi, me déjouer,
jusque au moment où elle décide de filer.
jusque au moment où elle décide de filer.
Avec grand plaisir, je viendrai à l'occasion te présenter quelques unes de mes photographies.
J'en ai une qui a passé l'été avec moi au chalet. Elle ne se déplaçait même plus du chemin en voyant mon auto arriver.
RépondreEffacerJe devais la saluer avant qu'elle daigne bouger.
@ Le factotum,
RépondreEffacerC'est pareil chez nous, il faut les avertir et prendre notre temps, avant qu'elles daignent quitter la route.
Une chance pour elles, que je leur tire le portrait avec une caméra , sinon, elles ne survivraient pas longtemps.
Pareil chez nous au campe! Sans les apprivoiser vraiment, je les observe avec tellement d'attention et de silence qu'elles se sont habituées à ma présence, c'est rendu que je ne leur tire même plus le portrait tellement elles font partie de la maisonnée!
RépondreEffacerTes photos et ta vidéo, Barbe blanche, nous font partager ce moment captivant qui ressource, plein de beauté, avec ce petit bruissement de vent dans les feuilles, ce qu'on appelle le silence de la forêt mais qui, en fait, n'est pas sans bruit, il est très habité ce pseudo-silence...
M'en vais au campe demain et jusqu'à dimanche, c'est la saison des atocas sauvages, je connais une talle, elle est loin par exemple, il me faudra mériter chacun de ces petits fruits surettes que je mange nature comme des bonbons!!! Je serai bien accompagnée, en plus.
@ Zoreilles,
RépondreEffacerSi au lieu d'une caméra, j'avais un fusil, il n'y en aurait plus une seule, tellement elles sont peu farouches.
Comme je n'ai jamais chassé, elles peuvent continuer à venir me saluer en toute sécurité et moi, je peux alors
les cueillir en toute tranquillité, ramener mes trophées qui de leur côté,continuent à vaquer à leur occupations préférées.
Pour ce qui est du silence habité de la forêt, il se doit d'être un peu plus fort pour qu'ils puissent passer par dessus mes acouphènes qui ont la mauvaise habitude de s'intensifier avec le temps.
J'espère que ta récolte d'atocas sauvages a été bonne et que tu t'en régales à ton gout.
Oui, la récolte a été bonne et on a gagné chacune de nos atocas, une par une, tellement on a marché loin et longtemps pour se rendre jusqu'à la tourbière. Mais il faisait si beau...
RépondreEffacerJe connais bien pour en entendre parler beaucoup, de ces acouphènes, qui sont ton lot et celui de mon conjoint. Lui aussi dit que ça empire tout le temps... Sa plus grande peine est de faire son deuil du silence de la forêt. Par contre, le calme et la sérénité des lieux lui font grand bien, c'est là qu'il se ressource... Nous avons vu beaucoup de perdrix en fin de semaine, les amis qui étaient avec nous n'en revenaient pas comme elles ne sont pas farouches. Ces amis leur ont tiré le portrait et c'est tout ce qu'ils ont tiré!
@ Zoreilles,
RépondreEffacerCes atokas là vont être bons en juste pas à peu près...
Le silence de la forêt, mes acouphènes m'empêche de l'entendre avec mes oreilles,
mais, je le ressent de tout mon être, c'est un peu comme toucher le paradis du bout des doigts,
ça fait tellement de bien.
C'est amusant, de tirer le portrait des bêtes,
ainsi, le gibier capturer continu son chemin comme si de rien n'était.
J'ai vu un mâle se pavanant devant trois jolies dames cette après midi
malheur à moi, je n'avais pas ma caméra.
Bon, ce sera pour une autre fois.