Te souviens-tu de cette chanson de Pierre Calvé : « Quand les bateaux s'en vont/Je reste sur le quai/Et jamais je ne pars/Mais jamais je ne reste... »
À voir tes images me reviennent tant de souvenirs de ma grand-mère qui m'en parlait avec les yeux au loin et ma mère qui me raconte encore souvent que lorsqu'elle était petite, aux Îles de la Madeleine, elle voyait passer les gros bateaux et rêvait d'en prendre un, un jour, pour partir elle aussi. Le jour où elle a pris le bateau, c'était la goélette à Clopha pour les enfants, le SS Lovatt pour les parents, ils s'en venaient en Abitibi, un aller seulement. Heureusement, comme des saumons retournent à la source chaque année et remontent le courant, ils sont retournés aux Îles tant de fois depuis qu'ils nous ont transmis cet attachement à leur terre natale, à la mer, aux bateaux...
@ Zoreilles, "Il faut bien plus que des bagages pour voyager" Depuis un bout de temps, c'est une chanson de mon jeune temps qui revient sans cesse me taquiner, je ne me souviens pas du titre, mais, ça dit ceci; "au bout du quai, je vois la mer qui dance, au loin là bas, je vois de grands bateau, je t'attendrai avec impatience................
Je suis persuadé, que comme ta mère, tous ceux et celles qui vivent en bord de mer, rêvent de un jour, prendre un bateau, comme ceux qui passent, et repassent inlassablement au large pour enfin, savoir où ils vont tous de même. Comme ça doit être beau, là où ils s'en vont... Le monde......
Si tu trouves quelle chanson tu fredonnes, tu me le diras, ça m'intéresse!
À te lire, je crois que toi aussi, comme ma mère, tu as déjà rêvé de prendre un bateau et comme elle, tu as voyagé beaucoup pour découvrir... le monde!
@ Zoreilles, Pour la chanson, j'ai trouvé, elle est de Paul Brunelle et s'intitule:"Au bout du quai" mais, ça, tu le savais déjà... Bien sur, j'ai tellement voyager assis sur mon cran, à bord du bateau qui se pointe. Chaque navire passant là bas tout au large, était une occasion de voyage. Dès qu'il paraissait à l'horizon, j'y montait, et à son bord,je partais pour de grandes aventures qui duraient, duraient jusqu'à ce que la mère chez nous m'appelle pour venir manger.
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Te souviens-tu de cette chanson de Pierre Calvé : « Quand les bateaux s'en vont/Je reste sur le quai/Et jamais je ne pars/Mais jamais je ne reste... »
RépondreEffacerÀ voir tes images me reviennent tant de souvenirs de ma grand-mère qui m'en parlait avec les yeux au loin et ma mère qui me raconte encore souvent que lorsqu'elle était petite, aux Îles de la Madeleine, elle voyait passer les gros bateaux et rêvait d'en prendre un, un jour, pour partir elle aussi. Le jour où elle a pris le bateau, c'était la goélette à Clopha pour les enfants, le SS Lovatt pour les parents, ils s'en venaient en Abitibi, un aller seulement. Heureusement, comme des saumons retournent à la source chaque année et remontent le courant, ils sont retournés aux Îles tant de fois depuis qu'ils nous ont transmis cet attachement à leur terre natale, à la mer, aux bateaux...
@ Zoreilles,
RépondreEffacer"Il faut bien plus que des bagages pour voyager"
Depuis un bout de temps, c'est une chanson de mon jeune temps qui revient sans cesse me taquiner, je ne me souviens pas du titre, mais, ça dit ceci;
"au bout du quai, je vois la mer qui dance,
au loin là bas, je vois de grands bateau,
je t'attendrai avec impatience................
Je suis persuadé, que comme ta mère, tous ceux et celles qui vivent en bord de mer, rêvent de un jour, prendre un bateau,
comme ceux qui passent, et repassent inlassablement au large pour enfin, savoir où ils vont tous de même.
Comme ça doit être beau, là où ils s'en vont...
Le monde......
Si tu trouves quelle chanson tu fredonnes, tu me le diras, ça m'intéresse!
RépondreEffacerÀ te lire, je crois que toi aussi, comme ma mère, tu as déjà rêvé de prendre un bateau et comme elle, tu as voyagé beaucoup pour découvrir... le monde!
@ Zoreilles,
RépondreEffacerPour la chanson, j'ai trouvé,
elle est de Paul Brunelle et s'intitule:"Au bout du quai"
mais, ça, tu le savais déjà...
Bien sur, j'ai tellement voyager assis sur mon cran, à bord du bateau qui se pointe.
Chaque navire passant là bas tout au large, était une occasion de voyage.
Dès qu'il paraissait à l'horizon, j'y montait,
et à son bord,je partais pour de grandes aventures qui duraient,
duraient jusqu'à ce que
la mère chez nous m'appelle pour venir manger.