C'est aux gazouillis
de cette cascade,
certains soirs d'été,
que nous nous
glissons
dans les bras
de Morphée.
Tien, elle a encore survécu à l'hiver.
Avec grand plaisir, je viendrai à l'occasion te présenter quelques unes de mes photographies.
Tu as un véritable trésor « dans ta cour » et tu en es conscient! Même la petite cabane qui a survécu à l'hiver, sous les rayons du soleil printanier, fait figure de p'tit château, hihihi!
RépondreEffacer@ Zoreilles,
RépondreEffacerUn trésor apprécié un peu plus chaque jour,
à la fureur assourdissante du printemps,
une douce mélodie se substitue
l'été venue.
Le petit château,
il commence a avoir de l'âge,
c'est le premier campe du père
de celui qui nous a vendu
ce coin de paradis.
Il s'y abritait
lorsqu'il y venait
couper son bois pour l'hiver.
Ce bruit de fond de l’eau qui coule,
RépondreEffacerBruit permanent et apaisant,
Il se fait entendre de jour et de nuit.
Il change au gré des saisons,
Allant de sonorité forte à sourdine,
Comme le son de la radio ou d’une musique,
À la différence qu’il ne s’ajuste par la main de l’humain.
Il est le refrain serein de nos escapades
Il est sans cesse renouvelé et enchanteur
Dans ce décor emprunté aux temps anciens
Pour ne pas dire à l’ancien temps….
@ Géraldine,
RépondreEffacerTa description de notre compagnon sonore
est d'une mouture poétique , j'adore.
Il me semble te voir,
sur ce balcon le soir,
dégustant le jour qui doucement s'endort.