09 novembre 2013

De boulot en bouleaux.

Solitaire 
ou en
famille,
le bouleau
se pointe,
partout
il
y a une
place 
de libre.

Surprenant,
qu'il 
pousse 
au
Québec,
nous 
ne 
sommes
toujours
pas 
libérés. 












8 commentaires:

  1. Hé cibouleau il y en a des maganés...., des majestueux...., des lisses..., des pattes de poules géantes et bien d'autres. Et tu n'as pas manqué de les rendre encore plus uniques. Encore une fois BRAVO!

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  2. @ Géraldine,
    Autrement dit, j'ai fais du bon boulot...
    Merci.

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  3. Tous les bouleaux de la rivière Mingan, tous les bouleaux se rappellent... J'ai souvent vu la rivière Mingan. Chaque fois, ces paroles poétiques me revenaient à l'esprit. Tes photos aussi reflète cette belle poésie. En plus, je crois sentir un appel au respect de la nature.

    J'ai des bouleaux dans ma cours près de mes pommiers. Durant la crise du verglas, ils ont tous cédé. Ils ont repris racine. C'est fort la nature, mais il ne faut pas trop compter sur elle pour tout protéger à notre place. Quand j'étais étudiant, un collègue de classe m'avait fait un vibrant plaidoyer sur l'état de santé des bouleaux. Il possède aujourd'hui un important bureau d'avocats. Il a tout le calibre pour être jugé in jour. Mais, je ne sais pas s'il a des chances car il est très honnête de nature. :-)

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  4. @ Jackss,
    Ces bouleaux poussent librement derrière mon humble chalet,
    dernièrement, ils ont bien voulu prendre la pose pour moi,
    ce fut un réel plaisir, de les immortaliser.

    Pour ce qui est de ton ami avocat, il ne doit pas être un si bon avocat que ça, si comme tu dis, il est honnête.
    Avec un tel handicap, c'est sur, il ne sera jamais juge...

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  5. Variations sur un même thème : les bouleaux! Tes photos sont tellement belles, on dirait que tu les fais parler...

    Du bon boulot!

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  6. @ Zoreilles,
    Tu les a entendu toi aussi,
    ils ont tellement à dire...
    En prenant la pose,
    ils m'indiquaient lequel de leur profil ils préféraient montrer.
    Je n'avais plus qu'à déclencher.

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  7. Lise (Cloutier)2013-11-16 21 h 14

    Barbe,

    est-il vrai que lorsqu'on détache l'écorce d'un arbre tout le tour il meurt?

    L'écorce de bouleau, un des rares arbres à feuilles sur ma Côte-Nord natale, parfait parchemin pour écrire une lettre d'amour; et je ne suis pas sûre mais il me semble avoir lu quelque chose à ce sujet chez Zoreilles...

    Je visite rarement les blogues maintenant, mais le plaisir de m'y promener n'en est que plus grand; un plaisir et de belles découvertes. Bravo pour le talent du photographe monsieur Yvon!

    :)

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  8. @ Lise (Cloutier),
    Hé oui, Lise, parce que la sève circule sous l'écorce, bien à l’abri de l'air qui la fait sécher, alors, lorsque l'écorce est enlevée tout le tour, la sève ne peut plus circuler et l'arbre meurt de faim.

    Je me souviens aussi Lise des cartes de vœux que Zoreilles fabrique avec de l'écorce de bouleaux, une ingénieuse façon de faire signé Zoreilles.

    Je suis très heureux que tu m'ais rendu une si belle visite Lise, je commençais à m'ennuyer de tes commentaires toujours si précieux.
    Je te remercie mille fois pour ton appréciation de mon talent de photographe, tu me donne de l'énergie pour continuer.
    Tu ne peux imaginer, à quel point, tu m'as fait du bien aujourd'hui.
    Merci Lise.

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