Par
un
dimanche
après-midi,
le
vent
nous
coupait
en
deux,
il
faisait
froid,
en
ce
début
mai.
Pour
tuer
le
temps,
nous
avons
fait
une visite
à
nos
amis,
dans
l'église
de
Percé.
à nous attendre,
tout partout,
mais,les petites maisons, disposées
aux quatre coins de l'église
étaient vides, le néant.
était déserte.
non plus,
nos amis, s'ennuyaient,
chacun dans son coin.
derrière nous.
Notre visite à l'église de Percé était terminée.
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hé ben, elle est aussi belle en dedans qu'en dehors wow!
RépondreEffacerQue de beautés en ce lieu! J'adore l'escalier tournant.Ça me rapelle un oncle qui avait gagné pleins de prix pour avoir construits des escaliers semblables.Tout ça en ne sachant ni lire ni écrire.C'était tout un personnage. Je ne vais plus à l'église mais je sais en reconnaître la beauté et le grand talent de ceux qui les ont construites. Bonne soirée et merci!
RépondreEffacer@ Virginie,
RépondreEffacerC'est la première fois que j'y entrais, il faut dire, que le vent m'y a poussé un peu...
Il y a toute une collection de statues, qui se surveillent les unes les autres...
@Étoile,
RépondreEffacerJ'aime bien, visiter, les églises, même si depuis longtemps, j'évite de m'y rendre, quand le curé y est.
L'escalier tournant, conduisant à la chaire, était une pièce architecturale,présentes dans presque toutes les églises d'autrefois, de nos jours, elles disparaissent de plus en plus, elles sont devenues des pièces rares.
Nombres d’artisans ne savaient ni lire ni écrire, mais, ils savaient, prendre les bonnes mesures, et calculer les angles avec précisions.
Ils ont fabriqués et construit de si belle et grande choses.
Le commentaire d'Étoile et ta réponse, Barbe blanche, me rejoignent tout à fait. Ces oeuvres d'art et d'architecture réalisées par des artistes et artisans de l'époque témoignent d'une époque révolue mais aussi d'un patrimoine, d'un héritage qui nous rappelle qui nous sommes, comme peuple.
RépondreEffacerChaque fois qu'on en abandonne une de ces églises, qu'on la transforme en condos ou en bureaux administratifs, ça me fait quelque chose, j'ai peur que si l'on ne se rappelle plus d'où l'on vient, on saura encore moins où l'on va.
Ma réaction n'est pas religieuse, elle est culturelle!
@ Zoreilles,
RépondreEffacerCes édifices, font parties de notre Histoire,elles sont intimement liées à ce que nous sommes, même si nous ne les fréquentons plus ou presque.
L'état des finances des fabriques, sont de plus en plus à sec, et il arrive trop souvent, malheureusement, de voir des églises vendues et devenir, des centres culturels, des bibliothèques, et autre.
Parfois, elles perdent une grande partie de leur architecture, pour répondre aux normes de leur nouvelle vocation, et c'est malheureux.
Même dans celles qui restent, quand une pièce devient défraîchi, elle est tout simplement retiré et remplacé par quelque chose de plus simple et de moins dispendieux, finances obligent.
où allons nous?
Je sais qu'on pense pareil à ce sujet, mon petit doigt me l'a dit! On a beau comprendre le phénomène, savoir que les « fidèles », sans être devenus des « infidèles », ne peuvent plus soutenir financièrement l'entretien et la pérennité de ces anciens lieux de rassemblement.
RépondreEffacerN'empêche qu'on se désole du résultat auquel on assiste, impuissants devant l'inévitable.
Quand ces églises (érigées avec les sous et le travail de la population de l'époque et même actuelle) retournent à la communauté sous forme de bibliothèque, lieu de création ou de diffusion des arts, centre culturel, salle communautaire, garderie pour les tout petits, ça me fait moins de quoi...
Mais quand ce sont des hommes d'affaires qui mettent la main dessus pour en faire de la spéculation, des bureaux administratifs ou des condos, ça me met en maudit!
@ Zoreilles,
RépondreEffacerCes édifices,pour certains, ont double fonctions,
en dehors des horaires religieux, ils reviennent à la communauté qui l'occupe à différentes activités culturelles et sociales, celle là,sont pour ainsi dire sauvées.
Pour combien de temps?
Ça, c'est toute une question.
Pour ce qui est de la présence des promoteurs qui rôdent, ils sauvent les murs, mais, ils en détruisent l'Âme.
C'est je pense, pire qu'un séisme naturel, parce que c'est fait dans un bût mercantile et sans le moindre respect pour le travail des bâtisseurs qui nous ont précédés.
Maudite argent, surtout, celle que nous n'avons pas.