Lors de mon dernier pèlerinage
sur la grève de mon enfance,
j'ai rencontré
de vieux amis,
jonchant sur les galets
qui m'ont vus courir jadis.
Tous plus beaux
les uns que les autres,
je n'ai su résister
au plaisir de les immortaliser.
Avec grand plaisir, je viendrai à l'occasion te présenter quelques unes de mes photographies.
Si bien polis qu'on a envie de laisser glisser la main sur leur peau!
RépondreEffacerJe suis fascinée par ces bois qui résistent!
@ Gine,
RépondreEffacerIl ne faut pas les caresser à rebrousse poil, sinon, gare aux échardes.
La plupart du temps,ils sont si bien polis qu'ils n'ont plus d'échardes.