Seul devant ses poursuivants,
il file à tire d'aile.
Réussira-t-il à semer ses poursuivants?
Ils sont tellement près,
que notre ami sent leur souffle
lui caresser les flancs.
La course est féroce
et bien peu sont capable d'en prédire la finale.
Une chance, les lumières se sont éteintes
avant la fin.
C'est si beau que ça me semble presqu'irréel, c'est tout dire!
RépondreEffacerSur la troisième photo, j'ai vu un voilier qui s'éloignait des côtes, toutes voiles gonflées d'espoir, vers une vie nouvelle et riche d'aventures.
Le ciel était en feu!
@ Zoreilles,
RépondreEffacerLà où tu vois un voilier, j'y ai vu un ange...
À croire que tu es plus près de la mer que moi...
Faut dire que de ce temps là, je suis plus souvent en forêt qu'au bord de l'eau.
Moi aussi, j'y vois plus un voilier. Moi qui ai toujours vécu à l'intérieur des terres sur mon plateau continental.
RépondreEffacer@ Le factotum,
RépondreEffacerBon c'est ça, mettez vous ensemble pour faire tomber mon ange dans votre beau voilier,
des plans pour qu'il s'y casse les ailes...
C'est vrai, que fatigué de filer à toute épouvante,
faire un bout de route en bateau, c'est attrayant,
surtout que le vent est très présent à cette altitude.