De ce temps là,
à ce que je vois,
elles passent leur temps
à s'empiffrer.
Elles se font des réserves
pour affronter
les froidures
de l'hiver Gaspésien.
Des chasseurs me demandent ,
vois tu du gibier
sur ton lot?
Mais non
que je réponds.
Un fou,
je vais leur ouvrir
comme ça, bêtement
le garde manger...
Oh la belle tite poulette! Promis juré, je dis pas un mot moi non plus!
RépondreEffacer@ Zoreilles,
RépondreEffacerLe silence est d'or et
garde les chasseurs de perdrix dehors.
Pour être franc, elles sont trois,
présentées l'une à la suite de l'autre
dans ce court métrage..
À chaque rencontre, c'est plus fort que moi,
je m'amuse à leur tirer le portrait,
une véritable obsession,
m'imaginant,
que la prochaine photo
sera encore meilleure
que les précédentes.
Elles sont déjà toutes bonnes, tes photos et tes vidéos mais je comprends très bien que tu ne puisses résister à leur tirer le portrait. D'abord, ça leur fait même pas mal... ensuite, à toi et à nous tous, ça fait même le plus grand bien.
RépondreEffacerMerci de nous avoir payé la traite encore une fois!
Elles picorent, picorent et picorent encore puisque tu le dis elles sont trois. À revoir lors de la fin de notre long hiver pour espérer encore recevoir cette lumière à travers les feuilles restantes, et apprécier la paix que cela procure.
RépondreEffacer@ Zoreilles,
RépondreEffacerC'est je trouve la manière la plus amusante de récolter du gibier.
Tu tires à volonté,
tu récoltes sans réserves,
et lorsque tu en as plein ta besace,
tu rentes à la maison
pendant que le gibier
continu à vaquer à ses occupations.
@ Géraldine Fortin,
RépondreEffacerC'est toujours la surprise ,
quand au printemps
nous faisons notre première visite au paradis,
de rencontrer nos bonnes amis,
les gélinottes.
C'est comme un rayon de soleil printanier.
Alors, nous savons qu'elles ont survécus à l'hiver
et c'est le coeur léger que nous entrons dans l'été.