En visite
à Kamouraska,
l'église, dans toute sa majesté,
s'impose à notre regard,
ses deux clochers,
pointent fièrement
vers le firmament,
ils sont bel et bien deux,
même si parfois,
elle semble n'en avoir qu'un.
Un peu plus loin, c'est le Christ Roi
que veille sur le village
afin d'éviter
que ne reviennent
les anglais pour tout y détruire
comme ils le firent jadis.
À l'époque,
de grands arbres
peuplaient en toute liberté,
ce village naissant.
mais, le progrès,
au fil des ans,
s'invita,
s'insinua,
à un point tel,
qu'il fut nécessaire
de lui faire de la place.
Pour ne pas
briser le fil,
le bouleau
devenu embarrassant
fut coupé,
laissant un bout de branche
se balançant seul entre ciel et terre.
De la fenêtre,
de grands champs
semblent s'étendre
jusqu'à l’horizon
tandis que plus près,
fleurissent de jolis arbustes.
Une belle illusion cette bottine à talons haut! C'est la taille du bouleau qui est restée accroché au fil électrique. Bien belle visite à ce lieu du Bas St-Laurent. J'ai eu un coup de coeur pour la boutique de l'art populaire.
RépondreEffacer@ anonyme,
Effacerla bottine sur son fil aurait surement sa place à la boutique d'art populaire.
C'est vrai, que ce fut une bien belle visite.