Après
avoir
embrouillé la vue
des pilotes d'avions.
Après avoir flâné sur les bordsde la baie de Gaspé.
Après,avoir tel un groupe d'anges bienveillants,
couvert de ses ailes duveteuses,
telle une caresse amoureuse
les sommets des montagnes.
Ce brouillard, a finalement,
filé vers le grand large.
Il est parti, naviguer sur les mers,
laissant derrière lui,
les eaux du Saint Laurent,
libres de vaquer à leur occupation préférée,
caresser la côte lumineuse,
sous la lumière éclatante du jour qui file
à grande allure.
J'ai pris le temps, d'écouter le chant de la vague
venant mourir sur les crans.
J'irai vendredi, moi aussi, écouter le chant de la vague venant mourir sur les crans ,,, comme le dit si bien mon ami.
RépondreEffacer@ Le Factotum,
RépondreEffacerJe te souhaite que vendredi, la brise soit légère, que le soleil brille de tous ses feux, et que la mer chante tout doucement, qu'elle t'amène pour un moment, faire une virée tout là bas, au large, avant de te reposer sur la grève, saouler de ses odeurs maritimes.
Ne te laisses pas envoûter pas le chant des sirènes...
Tes photos me rendent nostalgique, Barbe Blanche. La mer me manque. Et tu lui rend bien tous son charme. Sur la Côte-Nord, je me disais toujours qu'on ne pouvait être malheureux en côtoyant la mer de si près. Tu as de la chance.
RépondreEffacerParadoxalement, je ne peux m'empêcher à penser à tous ces coins du monde où les relations sont terriblement explosives tout en étant situées dans de tels décors de rêves. Tu as le mérite de savoir apprécier ce milieu si hospitalier. Alors bravo! Et merci de nous faire partager le tout.
Écouter le chant de la vague... dans l'air embrumé...
RépondreEffacerJe suis "pour"!
@ Jackss,
RépondreEffacerBon retour Jackss,
La mer te manque,
je suis bien placé
pour te comprendre.
La mer,
après l'avoir courtisé
un certain temps,
il n'est plus possible
de l'oublier.
Elle s'infiltre en nous,
y faisant couler
un peu de sel marin
dans nos veines.
Pour avoir des relations explosives
tout en étant au bord de la mer,
la température doit y être trop chaude.
C'est surement,
l'enfer sur terre,
de vivre près du paradis et être en continuelle chicanes.
Ce qui me permet d'apprécier
ce paradis, c'est mon âge,
je suis tellement jeune dans mon âme...
À chaque fois, que je lève les yeux,
j'y découvre tellement de nouveaux décors,
de belles scènes de vie,
il m'est impossible de ne pas être
en pâmoison.
Vivre ici,
c'est comme être en vacances
à l'année.
@ Spécialiste de l'Éphémère,
RépondreEffacerC'est le secret du bonheur,
c'est la recette de l'immortalité,
ou presque.
Je n'ai pas ta chance de voir l'infinité. Mais j'ai mon petit banc près de la rivière du Lièvre où je vais le plus souvent possible. Tes photos reflète le repos et la beauté de ta région. Merci de nous les partager. Sur ta septième photo il y a un "objet" ^c'est une ancre. je suis curieuse et je me sens ridicule avec mes questions. Je suis une pêcheuse mais au doré au brochet et à la truite simplement. C'est pourquoi je suis si intéressé. Merci de répondre à mes questions si gentiment j'apprends avec toi. Bonne journée Barbe blanche.
RépondreEffacer@ Étoile,
RépondreEffacerIl m'arrive souvent,
de m’asseoir sur l'herbe,
au bord de la rivière
et de regarder
voguer mes idées
au fil du courant.
L'objet, oui, c'est une ancre de gros bateau,
elle est passablement ancienne,
aujourd'hui, elle sont je crois
légèrement différentes.
Bonne journée Étoile.